POURQUOI LE MOT CROYEUR N’EST-IL PAS CONSTRUIT ?
| dc.creator | Owoeye, Samuel T. | |
| dc.date | 2009-09 | |
| dc.date.accessioned | 2025-03-29T18:00:33Z | |
| dc.description | La suffixation en –eur agentif est l’un des procédés morphologiques considérés très productifs en français. Si productif que soit ce procédé, la construction des mots nouveaux à partir de lui n’est pas aléatoire comme elle est sous-tendue par des Règles de Construction de Lexèmes bien spécifiées dans la littérature. Cet article, en réfutant la position prise par quelques morphologues qui prétendent que la dérivation ‘croyeur’ est interdite parce que le verbe de base, ‘croire’, ne satisfait aucune des exigences de l’argument protoagentif, argue que l’ interdiction est le résultat du blocage de type, étant donné que l’attestation du mot ‘croyant’, construit à partir de la suffixation en –ant, employable agentivement, remonte de l’époque à l’ancien français et par conséquent bloque la possibilité de la dérivation de ‘croyeur’ qui est issue de la suffixation en –eur agentif. | |
| dc.format | application/pdf | |
| dc.identifier | http://eprints.covenantuniversity.edu.ng/7180/ | |
| dc.identifier.uri | https://repository.covenantuniversity.edu.ng/handle/123456789/36534 | |
| dc.language | en | |
| dc.subject | H Social Sciences (General) | |
| dc.title | POURQUOI LE MOT CROYEUR N’EST-IL PAS CONSTRUIT ? | |
| dc.type | Article |
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- pourquoi croyeur n'est-il pas construit.pdf
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